La machine procède de la géométrie | métro de Montréal

Série 1

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La machine procède de la géométrie et l’usager transgresse cette règle. Debout, assis ou accroupi dans le métro, il perçoit la machine comme un moyen de circulation dans ses rêves et ses préoccupations quotidiennes. Chaque station le ramène à sa réalité en le retirant de ses méandres imaginaires. Lieu de masse, la machine transporte l’humanité montréalaise dans toutes ses perceptions. Cette mise en situation provoque une dualité entre la machine achevée et l’usager acheminé. Par sa présence, il transporte une œuvre inachevée, un être en processus de circuits et des réseaux de communication personnels. Dans la série 1, j’illustre le métro de Montréal.

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